Le besoin de reconnaissance au travail est fort et c’est un levier de motivation important, qui conditionne la force de l’investissement des collaborateurs. La reconnaissance peut se traduire de différentes manières : par des paroles bien sûr, mais aussi et surtout par des actes.
Les mots
Cela peut sembler futile, mais les mots sont probablement les signes les plus évidents de la reconnaissance du travail d’un collaborateur. Un remerciement, des encouragements, des félicitations. Au quotidien, ce sont des petits détails qui comptent et qui motivent à s’investir un peu plus : « Bravo, merci pour ton aide, super boulot, félicitations pour ta présentation, merci d’être resté nous aider hier, merci à toute l’équipe, vous avez été géniaux, … ».
Les actes
Montrer de la reconnaissance, c’est aussi confier une mission spécifique à un collaborateur, lui faire prendre part à un projet parce que l’on a ressenti une certaine compétence ou parce qu’il/elle a exprimé un intérêt pour un domaine qui ne relève pas toujours de sa fonction. Responsabiliser un membre de l’équipe, en le confortant dans sa fonction ou en l’invitant à relever d’autres challenges, c’est également un signe de reconnaissance fort. C’est donner l’opportunité d’évoluer, de prendre parfois une nouvelle dimension, d’envisager de nouvelles évolutions professionnelles à terme. Les jeunes talents y sont particulièrement sensibles ; ils « marchent » à la reconnaissance. Leur permettre d’apprendre, de se développer, de sortir du cadre de leur fonction est un signe de reconnaissance qu’ils valorisent énormément.
Le travail en intérim n’échappe pas à cette règle. La reconnaissance du travail d’un collaborateur ne doit pas s’arrêter à son statut dans l’entreprise. Confier à un salarié intérimaire, un projet à responsabilités par exemple, c’est lui prouver qu’il est un salarié à part entière de l'entreprise, valorisé et reconnu pour son travail.
Les récompenses
Et si la reconnaissance n'est pas au rendez-vous, que faire ?